Du fait que Salus est avant tout un établissement pharmaceutique avec une application des normes et des exigences pharmaceutiques, ces mêmes normes s’appliquent également à tout ce qui est complément alimentaire. On retrouve ainsi l’obligation de l’identification des principes actifs, la quantification de substances dites de « marquage », de contrôles physiques et microbiologiques, comme dans le cas pour un vrai médicament. Et comme il s’agit en général de matériel végétal, s’y ajoutent des vérifications approfondies et plus sévères que celles exigées par la législation européenne (pesticides, métaux lourds, aflatoxines, radioactivité…).

Une fourchette de contrôles qui est même plus large que ce qui est exigé par la Pharmacopée. Pas une seule matière première entrante n’y échappe bien sûr : jus de plantes, sels minéraux, miel, etc. Si nécessaire, et parce qu’une certification bio n’est pas forcément une preuve suffisante, les ingrédients bio peuvent être recontrôlés, même ceux provenant de la ferme Salus. Même l’eau utilisée pour l’irrigation est susceptible d’être analysée.

Les contrôles se poursuivent ensuite, sur tous les lots et sur différents points de la chaîne de production, puis sur le vrac avant le conditionnement, et enfin sur le produit fini.

La méthode pharmaceutique implique également, conformément aux normes de l’ICH (Conférence Internationale sur l’Harmonisation), des « stress-tests », par exemple des tests à la chaleur, ou des tests de stabilité sur les contenants ouverts. A noter que de façon générale, Salus procède à des contrôles de stabilité en temps réel, ce qui permet de connaître une DLUO (date limite d’utilisation optimale) réelle des produits.

Chez Salus – rappelons-le – ces produits ne contiennent ni alcool ni conservateurs.

En conclusion, chez Salus, les normes de qualité dépassent de loin les exigences habituelles pour les compléments alimentaires.